Six heures du matin le jour pointe, la route N1 est déjà encombrée des îliens qui travaillent ici très tôt pour terminer en début d’après midi et profiter de la fin de la journée, car il fait nuit vers 18H et toute l’année. Deuxième descente vers ce qu’ils appellent le port…Un simple ponton et quelques bateaux de pêcheurs très fatigués comme eux et comme leur île. Un atmosphère différente et des Pélicans indifférents à ma présence.
Voler c’est magique !
Dans la matinée traversée de Basse Terre par la route intérieur en direction de la côte Ouest. Un premier arrêt et découverte d’une forêt luxuriante qui rappelle par la taille de ses arbres qu’il tombe énormément d’eau en raison du volcan de la Soufrière au sommet caché 300 jours par an dans les nuages.
LA TAILLE DES PLANTES DES ARBRES !
Deuxième arrêt pour visiter un parc Zoologique et botanique qui se veut ouvert et respectueux en soulignant leur volonté de préserver des animaux pour certains en voie d’extinction mais aussi de préserver et de promouvoir la flore de la Guadeloupe. Parfois c’est difficile à comprendre à la vision du Jaguar, de la Panthère et autres animaux bloqués dans des enclos à l’espace très, trop ? Restreint.
Le parc permet de se retrouver dans la canopée de la forêt grâce à un parcours très aériens à 25 mètres au dessus du sol, ce qui procure de bonnes et nouvelles sensations et nous montre ce toit vert sous un angle inhabituel.
LE DIRE TOUT SIMPLEMENT AVEC DES FLEURS
Après un repas au bord de l’eau retour par l’unique route qui fait le tour de Basse Terre en épousant le relief. Elle est en très bon état et surchargée à certaines heures. Tout le monde à sa voiture, unique moyen de déplacement et devient un moyen de pression très stratégique sur les moments chauds que les Antilles viennent de vivre en bloquant de nombreux points.
A suivre…