L’Acropole d’Athènes

 

L’acropole d’Athènes est un plateau rocheux calcaire s’élevant au centre de la ville d’Athènes à laquelle elle a longtemps servi de citadelle, de l’Athènes antique à l’occupation ottomane, ainsi que de sanctuaire religieux durant l’Antiquité. Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, l’Acropole est actuellement un des sites touristiques les plus visités du monde.

 

La colline s’élève à 156 mètres. Sa partie plate s’étend sur un peu moins de 300 mètres d’est en ouest et 85 mètres du nord au sud dans son état naturel, mais les travaux du ve siècle av. J.-C. l’ont élargie jusqu’à près de 150 mètres. L’Acropole n’est accessible que par le côté ouest.Le plateau a d’abord été utilisé comme habitat, puis comme forteresse, avant de devenir, au cours de l’époque archaïque, puis de l’époque classique, un grand sanctuaire principalement consacré au culte d’Athéna, comprenant plusieurs temples, dont le Parthénon, l’Érechthéion et le temple d’Athéna Nikè. Les autres monuments remarquables de l’Acropole sont les Propylées, le sanctuaire d’Artémis Brauronia, le théâtre de Dionysos, l’odéon d’Hérode Atticus.

 

 

TEMPLE ATHENA

 

 

Un peu avant 8 heure du matin nous sommes devant l’unique entrée pour accéder à l’Acropole. Il y a déjà un peu de monde et tout au long de notre visite d’une heure nous allons voir arriver un flot de touristes venus du Monde entier pour la plupart en groupe. Les photos ne reflètent pas cette réalité en raison de notre arrivée matinale et nos tentatives de cadrer sans personne ou presque…

 

 

 

Ce que je retiens de cette découverte sur un site mille fois montré c’est la grandeur et la fortification du plateau avec des temples très déconstruits mais suffisamment présent pour imaginer la grandeur d’une époque de plus de 3000 ans avant Jésus Christ et 500 avant J.-C l’apparition d’une réflexion philosophie sur la vie et les sciences et les mathématiques. Terrible contraste avec le passage rapide et curieux ? d’une multitudes humaines pressées de monter dans son bus et repartir sillonner des rues pleines d’objets inutiles avant de s’asseoir dans un des innombrables restaurants de la ville.